mercredi 2 mai 2012

La triste fin du petit enfant huitre et autres histoires, Tim Burton

Et voilà un petit livre qui n'aura pas fait long feu. Une dizaine de minutes ce matin plus une petite vingtaine à midi. Il faut dire qu'il ne fait que 122 dont la moitié est en anglais et qu'il a beaucoup d'illustration

La triste fin du petit enfant huitre et autres histoires, Tim Burton


A lire si :
- vous aimez les histoires soient tristes, soient macabres
- vous aimez Tim Burton

A ne pas lire si
- vous comptez les lire en français
- vous n'aimez pas Tim Burton

Présentation de l'éditeur

Fidèle à son univers d'une inventivité si particulière, mêlant cruauté et tendresse, macabre et poésie, Tim Burton donne le jour à une étonnante famille d'enfants solitaires, étranges et différents, exclus de tous et proches de nous, qui ne tarderont pas à nous horrifier et à nous attendrir, à nous émouvoir et à nous faire rire.
Un livre pour les adultes et pour l'enfant qui est en nous.

Mon avis

J'aime les films réalisés ou produit par Tim Burton, j'aime sa façon de raconter des histoires, j'aime Tim Burton. Et j'aime ce petit livre.

Je ne sais pas trop quoi dire dessus en fait. J'ai aimé les petites histoires ainsi que les illustrations dont voici un petit exemple
J'ai retrouvé dans ce petit recueil ce que j'aime dans les histoires filmées de Burton, la mélancolie, la triste, l'humour noir. Les illustrations m'ont fait pensé à Nightmare before christmas pour certaines, d'autre à Vincent (petit court métrage à voir absolument). 

J'ai beaucoup aimé les histoires qui ont toutes une fin assez triste parfois une fin inattendu. Le format poème va bien avec elles d'ailleurs. Il renforce la mélancolie généralement. Par contre, pour certaines, je me demande qui a été crée en premier, de l'histoire ou de l'illustration puisqu'elles ne comportent qu'une phrase ou deux, par exemple, Stick Boy'festive season ou encore the pin chushion queen.

Le seul hic, c'est la traduction française. Des noms propres qui changent, des phrases à rallongent, une mauvaise traduction souvent. Je sais qu'il fallait faire en sorte de coller à l'original dans l'esprit, mais il fallait aussi le faire dans la forme je trouve.

Heureusement, mon édition est bilingue et je n'ai lu que la partie anglaise (sauf quand vraiment je ne comprenais pas). D'ailleurs, c'est assez simple à lire en anglais.

Donc un petit livre que j'ai apprécié mais dont je ne lirais pas la traduction française.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire