Je n'ai pas pu résister à un livre de monsieur Gaiman. Cette fois, c'est un recueil de nouvelles que voilà, qui en comporte 24 (oui, ça fait beaucoup). On va donc voir ce que ça donne
Signal d'Alerte, Neil Gaiman
Editeur : Au diable Vauvert
Collection :
Année de parution :2018
Titre en VO : Trigger Warning: Short Fictions and Disturbances
Année de parution en VO : 2015
Nombre de pages : 496
A lire si :
- Vous aimez les histoires courtes
-Vous aimez les recueils qui mélangent les genres
A ne pas lire si :
- Vous n'aimez pas les histoires courtes
Présentation de l'éditeur :
" Il est des choses qui nous perturbent, des mots ou des idées qui surgissent sous nos pas comme des trappes, nous précipitant de notre monde de sécurité et de bon sens en un lieu beaucoup plus sombre et moins accueillant. " Neil Gaiman. Magie, monstres, mythes et miracles... Neil Gaiman décline librement poésie, fantastique, science-fiction, conte de fée.
Mon avis
Comme toujours, je vais parler des nouvelles en premier. Ça risque d'être parfois un peu court.
Comment monter une chaise : un petit poème sur, ben, comment monter une chaise. Ce poème d'ouverture ne m'a pas vraiment frappé.
le Labyrinthe Lunaire : La seconde nouvelle est déjà beaucoup mieux et l'on redécouvre le talent de conteur de monsieur Gaiman dessus. J'ai beaucoup apprécié cette nouvelle que j'ai trouvé très poétique et en même temps assez dérangeant de part sa fin. Bref, c'est le genre de nouvelles que j'aime beaucoup.
Le problème avec Cassandra : alors cette nouvelle me "pose" problème parce que je suis persuadée de l'avoir déjà lu mais je ne me souviens pas où ni dans quoi. Bref, ce n'est pas bien grave parce que ça reste une nouvelle sympathique dont la fin sans trop me surprendre m'a fait sourire.
Au fond de la mer sans soleil : voilà une nouvelle dérangeante sous fond de "il était un petit navire" (oui, la comptine)(enfin, moi, ça m'a grave rappelé ça). Elle est dérangeante autant par l'histoire que par la manière dont elle nous est racontée vu que l'auteur s'adresse directement à nous. Bref, j'ai beaucoup aimé.
« La vérité est une caverne dans les Montagnes noires... » : La vérité... fait partie des longues nouvelles de ce recueil. Elle nous entraîne à la suite d'un nain vers une mystérieuse caverne remplie d'or. Pour la trouver, il va faire appel à un maraudeur. J'ai bien aimé cette nouvelle-là où la recherche de l'or n'est finalement qu'un prétexte. Sans être totalement inattendu, son retournement est plutôt sympathique. Et ça m'a donné envie de découvrir la légende qui a servi de modèle à la nouvelle (une légende de l'île de Skye)(que je rêve de découvrir d'ailleurs).
Ma dernière logeuse : Une nouvelle sous forme de poème dans laquelle j'ai eu du mal à rentrer à cause de la forme justement. On y parle de mer, de déprime et de mort, c'est finalement assez perturbant. Faudrait peut-être mieux la lire en VO par contre, à cause de la forme.
Un récit d'aventure : Voilà une nouvelle comme je les aime chez Gaiman. Un homme trouve chez ses parents une vieille statuette dans les affaires de son père décédé. Sa mère va lui raconter l'histoire de celle-ci mais tout semble bien étrange tant elle se perd dans les explications, les lieux et les époques. La chute est attendue mais ça passe tellement bien.
Orange : Neil Gaiman nous prouve que l'on peut raconter une histoire en partant de format que l'on n'attend pas. Ici, ce sont les réponses à un formulaire dont nous n'avons pas les questions. Petit à petit, le lecteur va comprendre ce qu'il s'est passé. J'ai beaucoup aimé la forme, un peu moins l'histoire.
Un calendrier de contes : Cette nouvelle comporte en fait douze histoires courtes, chacune ayant pour thème l'un des mois de l'année. C'est d'ailleurs leur seul point commun, ça et l'idée de départ. Il y a quelques année, Gaiman a posé des questions étranges sur twitter pour chaque mois de l'année et il s'est servi des réponses pour écrire les nouvelles. Autre chose, c'est à la base une pub pour Blackberry qui avait eu droit à son site web (mais celui-ci ne renvoit plus sur rien). Il n’empêche que j'ai beaucoup aimé la plupart des nouvelles qui prouvent le talent de monsieur Gaiman une fois encore. Et pour info, mes préférées sont celle de Janvier, février, juillet et d'octobre.
L'Affaire de la mort et du miel : Gaiman a déjà fait une incursion dans le monde Sherlock Holmes dans le recueil des Choses fragiles avec Une étude en vert. Ici, il use réellement du détective (là où une Etude en Vert était plus une parodie). Un détective qui se lance sur une dernière enquête après la mort de son frère. Encore une fois, n'étant pas une experte de Holmes, je suis incapable de vous dire si ça suit les récits canoniques mais j'ai plutôt apprécié.
L'Homme qui a oublié Ray Bradbury : cette nouvelle était un cadeau d'anniversaire pour Ray Bradbury. C'est surtout un bel hommage à l'écrivain et à son oeuvre. A tous les écrivains même. Et même si personnellement, je n'ai lu Bradbury qu'une fois (j'étais jeune et je n'ai pas apprécié tant que ça à l'époque les Chroniques Martiennes)(je pense que si je le lisais maintenant, ça serait surement différent)(faudrait donc que je le fasse), et que du coup, je n'ai pas toutes les références, j'ai beaucoup aimé.
Jérusalem : Cette nouvelle a été écrite pour une semaine sur William Blake. Comme son nom l'indique, elle a pour sujet la ville de Jérusalem et part du poème de Blake. J'ai bien aimé la nouvelle qui utilise le syndrome de Jérusalem. Ce n'est pas ma nouvelle préférée du recueil mais elle se laisse lire.
Clic-Clac, le sac qui claque : Voilà une nouvelle horrifique que j'aurais bien voulu lire dans sa version originale, c'est à dire en Audible. C'est une histoire assez classique qui fonctionne parfaitement. Elle pose parfaitement l'ambiance en quelques lignes et sa chute est parfaitement maîtrisée et amenée.
Une invocation d'incuriosité : Voilà une petite nouvelle qui ne m'aura pas marqué tant que ça. Alors que le monde s'éteint, un homme entraîne son fils dans le passé où il mène une double vie. Sauf que le fils est porteur de malchance et que ce qui devait devenir leur salut risque de fort mal se passer.
« Et pleurer, à l'instar d'Alexandre » : A l'inverse de la nouvelle juste avant, celle-ci est courte et m'a beaucoup plu. Imaginez donc qu'un homme puisse désinventer les choses. C'est un peu absurde mais terriblement efficace. Et je ne parle même pas de la chute qui fonctionne à mort.
Nulle heure pile : Nulle heure pile est une nouvelle qui prend place dans l'univers de Doctor Who durant la cinquième ou sixième saison (celles de Matt Smith). Mais pas d’inquiétude, si vous ne connaissez pas la série, vous pouvez tout de même lire la nouvelle (bon, je pars avec un avantage minime, je connais un peu la série). J'ai beaucoup aimé d'ailleurs cette histoire qui prend pour point de départ "Quelle heure est-il monsieur le loup ?", un jeu en vogue chez nos amis anglais dans les cours d'école. On sent bien que Neil Gaiman a été scénariste sur la série et surtout qu'il s'amuse comme un petit fou sur cette nouvelle.
Perles et diamants : un conte de fées : Revisite du conte de fée "Les fées" de Perrault (celui où une jeune femme fini par produire des diamants ou des perles en parlant tandis que sa sœur finira par cracher des serpents) à la sauce moderne. Hum, je ne vais pas en dire grand chose. C'est la nouvelle que j'ai le moins apprécié du recueil.
Le Retour du mince duc blanc : Gaiman explique être parti de dessins de Bowie et sa femme fait par Yoshitaga Amano pour un magazine. Dois-je vraiment vous dire que je suis déçue de ne pas voir les illustrations dans le recueil ? (les illustrations sont trouvables sur le net, dans cet article par exemple). Enfin, passons à la nouvelle, entre fantasy et science fiction, elle rappelle parfois les contes de fées. Plutôt sympathique à lire.
Terminaisons féminines : Ici, c'est une lettre d'amour que nous lisons. Une lettre assez étrange qui fait presque penser à un stalker. C'est très perturbant comme lettre en fait. Et en même temps, je l'ai trouvé assez géniale dans son rapport à l'art.
Un respect des convenances : Un nouveau poème. Cette fois, on part dans le conte de fée, celui de la Belle au bois dormant mais du point de vue d'un autre personnage. Ça fonctionne pas mal, mais encore une fois, j'ai du mal avec la présentation en VF. Je suppose que ça passe bien mieux en VO.
La Dormeuse et le rouet : Il s'agit en fait de La Belle et le Fuseau, mais forcément sans les illustrations. Du coup, je vous laisse aller voir mon avis sur le livre lu il y a un peu plus de deux ans.
Ouvrage de sorcière : encore un poème et encore cette difficulté à le lire en VF. Décidément, je dois trouver les poèmes de Gaiman en VO, ça sera bien mieux. Bref, ici, ça parle de sorcière, de sort et de tempête.
En Relig Odhráin : Et encore un poème. Je sais ce que Gaiman pense des poèmes et j'apprécie qu'il en écrive et les mette dans ces recueils mais comme j'ai du mal à les lire par leur forme... Bref, celui-ci, j'aurais préféré qu'il soit en prose. Ici, Neil Gaiman reprend la légende de Saint Oran sur l'ile de Iola (en Ecosse). Il serait mort enterré vivant sous une chapelle de Iola par Saint Colomban qui l'aurait finalement sortit de là et mis en terre consacrée après que le mort est parlé du paradis (c'est en anglais mais la page wiki en parle mieux que moi). Une histoire qui fait un peu froid dans le dos et qui offre un poème plutôt sympathique.
Le Dogue noir : la dernière nouvelle du recueil, tout comme la dernière de Des Choses Fragiles, est une nouvelle dans un univers bien connu de Neil Gaiman, celui d'American Gods. Après son passage en écosse dans le Dernier Monarque (que l'on retrouve donc dans Des Choses Fragiles), Ombre arrive enfin en Angleterre. Alors qu'il s'abrite dans un pub, il fait la connaissance d'un adorable couple qui va lui proposer de passer la nuit chez eux. Sur le chemin, ils vont lui conter la légende du Dogue Noir, chien fantomatique qu'il semble voir. J'ai beaucoup aimé la nouvelle qui emprunte à la Chasse Sauvage mais pas que. Et puis Ombre quoi (j'ai envie de relire American Gods moi du coup). Et pour ceux qui n'ont pas lu American Gods, il n'y a pas de spoil évident sur l'histoire.
Au fond de la mer sans soleil : voilà une nouvelle dérangeante sous fond de "il était un petit navire" (oui, la comptine)(enfin, moi, ça m'a grave rappelé ça). Elle est dérangeante autant par l'histoire que par la manière dont elle nous est racontée vu que l'auteur s'adresse directement à nous. Bref, j'ai beaucoup aimé.
« La vérité est une caverne dans les Montagnes noires... » : La vérité... fait partie des longues nouvelles de ce recueil. Elle nous entraîne à la suite d'un nain vers une mystérieuse caverne remplie d'or. Pour la trouver, il va faire appel à un maraudeur. J'ai bien aimé cette nouvelle-là où la recherche de l'or n'est finalement qu'un prétexte. Sans être totalement inattendu, son retournement est plutôt sympathique. Et ça m'a donné envie de découvrir la légende qui a servi de modèle à la nouvelle (une légende de l'île de Skye)(que je rêve de découvrir d'ailleurs).
Ma dernière logeuse : Une nouvelle sous forme de poème dans laquelle j'ai eu du mal à rentrer à cause de la forme justement. On y parle de mer, de déprime et de mort, c'est finalement assez perturbant. Faudrait peut-être mieux la lire en VO par contre, à cause de la forme.
Un récit d'aventure : Voilà une nouvelle comme je les aime chez Gaiman. Un homme trouve chez ses parents une vieille statuette dans les affaires de son père décédé. Sa mère va lui raconter l'histoire de celle-ci mais tout semble bien étrange tant elle se perd dans les explications, les lieux et les époques. La chute est attendue mais ça passe tellement bien.
Orange : Neil Gaiman nous prouve que l'on peut raconter une histoire en partant de format que l'on n'attend pas. Ici, ce sont les réponses à un formulaire dont nous n'avons pas les questions. Petit à petit, le lecteur va comprendre ce qu'il s'est passé. J'ai beaucoup aimé la forme, un peu moins l'histoire.
Un calendrier de contes : Cette nouvelle comporte en fait douze histoires courtes, chacune ayant pour thème l'un des mois de l'année. C'est d'ailleurs leur seul point commun, ça et l'idée de départ. Il y a quelques année, Gaiman a posé des questions étranges sur twitter pour chaque mois de l'année et il s'est servi des réponses pour écrire les nouvelles. Autre chose, c'est à la base une pub pour Blackberry qui avait eu droit à son site web (mais celui-ci ne renvoit plus sur rien). Il n’empêche que j'ai beaucoup aimé la plupart des nouvelles qui prouvent le talent de monsieur Gaiman une fois encore. Et pour info, mes préférées sont celle de Janvier, février, juillet et d'octobre.
L'Affaire de la mort et du miel : Gaiman a déjà fait une incursion dans le monde Sherlock Holmes dans le recueil des Choses fragiles avec Une étude en vert. Ici, il use réellement du détective (là où une Etude en Vert était plus une parodie). Un détective qui se lance sur une dernière enquête après la mort de son frère. Encore une fois, n'étant pas une experte de Holmes, je suis incapable de vous dire si ça suit les récits canoniques mais j'ai plutôt apprécié.
L'Homme qui a oublié Ray Bradbury : cette nouvelle était un cadeau d'anniversaire pour Ray Bradbury. C'est surtout un bel hommage à l'écrivain et à son oeuvre. A tous les écrivains même. Et même si personnellement, je n'ai lu Bradbury qu'une fois (j'étais jeune et je n'ai pas apprécié tant que ça à l'époque les Chroniques Martiennes)(je pense que si je le lisais maintenant, ça serait surement différent)(faudrait donc que je le fasse), et que du coup, je n'ai pas toutes les références, j'ai beaucoup aimé.
Jérusalem : Cette nouvelle a été écrite pour une semaine sur William Blake. Comme son nom l'indique, elle a pour sujet la ville de Jérusalem et part du poème de Blake. J'ai bien aimé la nouvelle qui utilise le syndrome de Jérusalem. Ce n'est pas ma nouvelle préférée du recueil mais elle se laisse lire.
Clic-Clac, le sac qui claque : Voilà une nouvelle horrifique que j'aurais bien voulu lire dans sa version originale, c'est à dire en Audible. C'est une histoire assez classique qui fonctionne parfaitement. Elle pose parfaitement l'ambiance en quelques lignes et sa chute est parfaitement maîtrisée et amenée.
Une invocation d'incuriosité : Voilà une petite nouvelle qui ne m'aura pas marqué tant que ça. Alors que le monde s'éteint, un homme entraîne son fils dans le passé où il mène une double vie. Sauf que le fils est porteur de malchance et que ce qui devait devenir leur salut risque de fort mal se passer.
« Et pleurer, à l'instar d'Alexandre » : A l'inverse de la nouvelle juste avant, celle-ci est courte et m'a beaucoup plu. Imaginez donc qu'un homme puisse désinventer les choses. C'est un peu absurde mais terriblement efficace. Et je ne parle même pas de la chute qui fonctionne à mort.
Nulle heure pile : Nulle heure pile est une nouvelle qui prend place dans l'univers de Doctor Who durant la cinquième ou sixième saison (celles de Matt Smith). Mais pas d’inquiétude, si vous ne connaissez pas la série, vous pouvez tout de même lire la nouvelle (bon, je pars avec un avantage minime, je connais un peu la série). J'ai beaucoup aimé d'ailleurs cette histoire qui prend pour point de départ "Quelle heure est-il monsieur le loup ?", un jeu en vogue chez nos amis anglais dans les cours d'école. On sent bien que Neil Gaiman a été scénariste sur la série et surtout qu'il s'amuse comme un petit fou sur cette nouvelle.
Perles et diamants : un conte de fées : Revisite du conte de fée "Les fées" de Perrault (celui où une jeune femme fini par produire des diamants ou des perles en parlant tandis que sa sœur finira par cracher des serpents) à la sauce moderne. Hum, je ne vais pas en dire grand chose. C'est la nouvelle que j'ai le moins apprécié du recueil.
Le Retour du mince duc blanc : Gaiman explique être parti de dessins de Bowie et sa femme fait par Yoshitaga Amano pour un magazine. Dois-je vraiment vous dire que je suis déçue de ne pas voir les illustrations dans le recueil ? (les illustrations sont trouvables sur le net, dans cet article par exemple). Enfin, passons à la nouvelle, entre fantasy et science fiction, elle rappelle parfois les contes de fées. Plutôt sympathique à lire.
Terminaisons féminines : Ici, c'est une lettre d'amour que nous lisons. Une lettre assez étrange qui fait presque penser à un stalker. C'est très perturbant comme lettre en fait. Et en même temps, je l'ai trouvé assez géniale dans son rapport à l'art.
Un respect des convenances : Un nouveau poème. Cette fois, on part dans le conte de fée, celui de la Belle au bois dormant mais du point de vue d'un autre personnage. Ça fonctionne pas mal, mais encore une fois, j'ai du mal avec la présentation en VF. Je suppose que ça passe bien mieux en VO.
La Dormeuse et le rouet : Il s'agit en fait de La Belle et le Fuseau, mais forcément sans les illustrations. Du coup, je vous laisse aller voir mon avis sur le livre lu il y a un peu plus de deux ans.
Ouvrage de sorcière : encore un poème et encore cette difficulté à le lire en VF. Décidément, je dois trouver les poèmes de Gaiman en VO, ça sera bien mieux. Bref, ici, ça parle de sorcière, de sort et de tempête.
En Relig Odhráin : Et encore un poème. Je sais ce que Gaiman pense des poèmes et j'apprécie qu'il en écrive et les mette dans ces recueils mais comme j'ai du mal à les lire par leur forme... Bref, celui-ci, j'aurais préféré qu'il soit en prose. Ici, Neil Gaiman reprend la légende de Saint Oran sur l'ile de Iola (en Ecosse). Il serait mort enterré vivant sous une chapelle de Iola par Saint Colomban qui l'aurait finalement sortit de là et mis en terre consacrée après que le mort est parlé du paradis (c'est en anglais mais la page wiki en parle mieux que moi). Une histoire qui fait un peu froid dans le dos et qui offre un poème plutôt sympathique.
Le Dogue noir : la dernière nouvelle du recueil, tout comme la dernière de Des Choses Fragiles, est une nouvelle dans un univers bien connu de Neil Gaiman, celui d'American Gods. Après son passage en écosse dans le Dernier Monarque (que l'on retrouve donc dans Des Choses Fragiles), Ombre arrive enfin en Angleterre. Alors qu'il s'abrite dans un pub, il fait la connaissance d'un adorable couple qui va lui proposer de passer la nuit chez eux. Sur le chemin, ils vont lui conter la légende du Dogue Noir, chien fantomatique qu'il semble voir. J'ai beaucoup aimé la nouvelle qui emprunte à la Chasse Sauvage mais pas que. Et puis Ombre quoi (j'ai envie de relire American Gods moi du coup). Et pour ceux qui n'ont pas lu American Gods, il n'y a pas de spoil évident sur l'histoire.
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