Ce livre est sorti il y a vraiment peu et je dois bien dire que j'ai été attiré à la fois par sa maison d'édition, Walrus, qui ne m'a jamais déçue, et par sa couverture, vraiment très belle. A vrai dire, je n'ai pas vraiment lu sa quatrième de couverture.
La chasseuse de Livres, Alex Evans
Editeur : Walrus Book
Collection : One-shot
Année de parution :2014
Format : Epub
A lire si :
- Vous aimez les romans courts, les novellas
- Vous voulez un peu de magie
A ne pas lire si :
- Vous voulez du long
- Vous voulez trois tonnes d'actions.
Présentation de l'éditeur :
Cassandra est une étudiante un peu particulière : héritière de l'antique
famille royale des Galata, la jeune princesse prépare une thèse de
Magie à l'université. Passant en revue les grimoires les plus vénérables
et les plus prestigieux, l'académicienne mène une vie rangée et, pour
tout dire, un peu ennuyeuse : elle rêve par-dessus tout d'aller sur le
terrain et de devenir enfin Chasseuse de livres. Car la Magie a beau
avoir déserté le pays depuis quatre siècles, certains nostalgiques des
arts occultes semblent convaincus que l'énergie mystique est sur le
point de reparaître. Mais les évènements prennent une tournure
inattendue le jour où la jeune érudite reçoit une invitation pour une
soirée à la Fondation des Sciences Occultes. La vénérable Tamora Caton a
en effet une mission à lui confier : retrouver le mythique "L'Appel des
Anciens", plus qu'un livre, une légende des arts magiques et une source
de pouvoirs terribles pour celui qui mettra la main dessus. L'occasion
est trop belle. Mais l'étudiante n'imagine pas encore que son chemin
sera parsemé d'embuches et dépassera de loin sa simple curiosité
scientifique. Dans l'ombre, les convoitises s'aiguisent.
Dans un monde mêlant légendes bibliophiles et steampunk assumé, Alex Evans nous offre une novella riche en rebondissements, en personnages passionnés et en atmosphères dépaysantes, et ouvre une porte sur un univers bouillonnant où magie et ambition ne font pas toujours bon ménage.
Dans un monde mêlant légendes bibliophiles et steampunk assumé, Alex Evans nous offre une novella riche en rebondissements, en personnages passionnés et en atmosphères dépaysantes, et ouvre une porte sur un univers bouillonnant où magie et ambition ne font pas toujours bon ménage.
Mon avis :
Comme je le disais, je n'ai pas vraiment lu la quatrième de couverture de ce livre. Je suis restée sur ce que j'ai pu en lire sur Twitter mais aussi sur la couverture que je trouve magnifique. Et puis, je sais d'expérience que Walrus sort des bouquins qui sont plus que susceptibles de me plaire, ayant toujours trouvé une bonne lecture chez eux.
La chasseuse de livres nous conte l'histoire de Cassandra de Galata, princesse de son état. Oui, une princesse. Mais en fait, cette partie là nous est expliqué dès le départ et nous finissons par l'oublier pendant un bon moment du livre. Il faut dire que Cassandra n'a rien à voir avec ce que l'on peut penser des princesses. Elle est indépendante, n'a pas sa langue dans sa poche. Elle m'a un peu fait penser à Alexa dans le Protectorat de l'ombrelle. Une femme comme je l'ai apprise pas mal, en fait. La jeune femme se voit mander pour trouver un mystérieux livre de magie. Elle, simple étudiante, va découvrir le métier de Chasseur de Livre qui lui plait plutôt pas mal.
L'univers de la chasseuse de livre m'a beaucoup plus. La magie réapparait avoir disparu pendant 400 ans et elle est une science, une vraie. D'ailleurs, c'est cela qu'étudie notre héroïne. Le monde semble être à peu-près égal au notre durant la période victorienne, au vu de l'habillement de Cassandra mais aussi de quelques autres éléments. Cela donne un petit côté steampunk à l'univers (mais pas trop développer non plus).
Le seul problème que je trouve au livre, reste sa longueur. Il est très court, quelques 160 pages environ. Du coup, tout va très vite. Peut-être un peu trop pour moi (surtout que je sors de deux longs romans). Pourtant, l'auteur (auteure ? je n'ai pas trouvé) réussi à nous faire vivre une véritable aventure assez complexe tout en nous donnant des indications sur le passé de son monde et de ses personnages. Mais tout cela a un prix, j'ai trouvé la fin un peu trop abrupte, trop rapide et finalement, j'ai encore des questions sur le livre.
Au final, cela reste une très agréable lecture, bien que trop courte (une heure/une heure et demie de lecture). J'ai aimé l'univers, le personnage principal mais tout était, à mon gout, bien trop rapide.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire