vendredi 24 avril 2015

L'ile aux Pélicans Géants, Time Trotters, tome 3, Nicolas Cartelet

Et voilà une nouvelle série de finie ce mois-ci, cela en fait donc deux, plutôt pas mal (cela veut surtout dire que je vais enfin pouvoir m'attaquer à des tomes 1, qui pullulent sur ma PAL numérique, un peu moins dans la papier). Cette fois, c'est la série bien pulp de Nicolas Cartelet qui arrive donc à sa fin.

L'ile aux Pélicans Géants, Time Trotters, tome 3, Nicolas Cartelet

Editeur : Walrus Book
Collection : série
Année de parution : 2014
Format : epub

A lire si :
- Vous aimez les histoires pulp
- Vous avez aimé Dorothée dans le tome 1
- Vous aimez quand ça part un peu dans tous les sens

A ne pas lire si :
- Vous souhaitez voir Godillot
- Vous voulez une histoire sérieuse

Présentation de l'éditeur : 

On l’avait perdue dans le temps. Elle est de retour. Fini la violence, rengainé le sabre, Tarentula est fatiguée et rentre chez elle, à son époque. La fin du voyage? Sauf si l’avion temporel dans lequel elle embarque est pris d’assaut par une bande de terroristes aussi roux que dangereux. Sauf si le vol 001 s’écrase sur une île déserte, remuée par des phénomènes aussi effrayants qu’incompréhensibles. Sauf si ses compagnons d’infortune se révèlent être de véritables bras cassés. Une fois de plus, le temps décide de n’en faire qu’à sa tête et La Tarentule en paye les frais. Fini la violence ? Rengainé, le sabre ? Pas si sûr… Vous avez aimé la série Lost ? Vous détesterez ce que Nicolas Cartelet a osé en faire… L’île aux pélicans géants est le troisième tome de la série Time-Trotters, toujours plus loufoque et inattendue.

Mon avis 

Si j'ai une affection particulière pour Martial Godillot, anti-héros maladroit et totalement à côté de ses pompes, j'avoue que j'avais eu un peu plus de mal avec les deux autres personnages principaux de Tarentula, à savoir la Tarentule elle-même et l'agent Ralph Spieler. Je savais avant de lire ce troisième tome que je n'aurais pas Godillot, mais les deux autres. Et j'avoue que du coup, j'y suis allée un peu à reculons, sachant que je ne trouverais pas le même humour, ni les mêmes situations. Dorothée et Spieler n'ont rien du looser de base qu'est Godillot, même si dans leur cas, ils sont pas mal non plus finalement.

Dorothée et Spieler embarquent sur le vol 001, premier vol de voyage dans le temps. La première pour rentrer en l'an 2000, le second pour empêcher un attentat temporel. Si l'attentat est bel et bien arrêté par les deux, rien ne va pour le vol 001. Endommagé, l'avion va faire quelques bons dans le temps et l'espace pour finir par se crasher sur une île déserte. Forcément, ils ne sont pas au bout de leur surprise. 

Comme toujours dans la série, nous partons très, mais alors très rapidement dans le n'importe quoi. Un n'importe quoi maîtrisé. Forcément, nous allons retrouvé quelques références, la plus grande allant à Lost, mais ce n'est pas la seule. Je vous laisse les découvrir. Ensuite, il y a l'humour. Tout aussi présent que dans les deux premiers tomes, mais pas forcément le même, vu que les personnages sont un peu différent. Après pour l'apprécier, je pense par contre qu'il faut éviter d'avoir des œillères et se souvenir que ce n'est que de l'humour parce que parfois, l'auteur va peut-être un peu trop loin.

Au final, ce troisième et dernier tome aura été à la hauteur de la série, même si je l'ai un peu moins apprécié que le second. Je trouve juste dommage pour la peine de ne pas avoir eu un épisode où l'on retrouverait les trois protaganistes principaux, cela aurait pu être bien marrant.





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